GIRLS IN THE CLUB
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 (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime

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Decay
Decay
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MessageSujet: (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime   (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime EmptyDim 14 Mai - 12:41

L'ordi a planté
Trop de fois la scène a tournée

Putain. Mes grandes jambes veulent même plus répondre. A ct'heure là mes veines c'est l'autoroute de tout c'qui pète le crâne. Pose ma tête sur le haut du dossier de mon fauteuil, mousse apparente, cuir bouffé. La faute au chien ? Non, à la chienne. Elle aime mordre le cuir quand je suis trop barbare.

En parlant d'elle, manque un peu celle-là. Ok, beaucoup, casse pas les couilles. Je te l'dis à toi qui lis ça, mais jamais à elle. Pourrait croire qu'elle est plus que mon animal.

Ecran allumé
Lumière bleue
Mal aux yeux

SMS à Lula :

- Viens. Vite. Prends des affaires tu restes la semaine.

Ouais subite envie, de la voir vivre, ou bien mourir.  

Encore un autre 2s plus tard :

- Envois tes seins, que je m'occupe avant que t'arrive.
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MessageSujet: Re: (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime   (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime EmptyDim 14 Mai - 15:13

ce sentiment étouffant, oppressant, de n'exister que sous son regard qui brûle. lula, elle est qu'un fantôme le reste du temps, la gamine qui s'estompe sous l'indifférence qui blesse. elle le réalise jamais pleinement, mais elle se montre toujours à l'affût. de son téléphone, de sa silhouette lorsqu'elle aligne ses pas délicats dans la rue. elle le cherche partout, tout le temps. decay, c'est la dernière pensée le soir avant qu'elle ne ferme le rideau de ses paupières et la première lorsqu'elle s'éveille, encore étreinte par morphée. il erre aussi dans ses rêves et pollue ses pensées quand elles ne sont pas mortifères.
alors forcément, sous son message, lula s'anime. y a la mécanique de son coeur qui bat un tempo bien connu et ouvre la voie au reste de ses courbes. comme une fleur fanée par le manque de lumière, elle renaît lula. elle éclot à mesure que l'endorphine, la plus puissante des dopes, s'insinue dans ses veines à l'idée de le retrouver. à l'idée de n'être qu'à lui pendant sept jours entiers, sans avoir à réclamer. decay, il déteste qu'elle réclame. qu'elle demande. et lula, elle ferait que ça. j'arrive. je me dépêche. elle hésite, en torturant sa lèvre inférieure sous l'assaut de ses dents nacrées. tu me manques. qu'elle ajoute finalement avant d'envoyer le message, coeur battant jusqu'à l'âme. lula, elle croise son reflet dans le miroir et se trouve déjà l'air plus vivante, moins terne. y a ses opales qui brillent de convoitise, ses joues qui rosissent du bonheur ivre, total, de le retrouver et y a son sourire paresseux, licencieux, déjà électrisé par ses sens. la môme saute sous la douche pour effacer la trace de ses phalanges qui ont caressé sa peau pour d'autres. elle prend le soin de se préparer, de se faire jolie, désirable. juste pour lui. L'odeur qu'il aime tant sur sa peau, sa couleur préférée en dentelle, le rouge à lèvres qu'il prend plaisir à ruiner et de quoi agrandir son regard félin, celui qui le rend dingue quand elle est à genoux.
lula, elle fait jamais rien pour elle quand il s'agit de lui. elle s'oublie, derrière decay, derrière ses envies, ses plaisirs, derrière tout ce qui la fait vriller juste parce que ça lui plaît. et lui plaire, le conserver près d'elle, c'est tout ce qui compte. la valise est bouclée, emplie seulement de trésors affriolants et de tous ces petits riens qui la font penser à lui et qu'elle collecte au gré de ses errances. lula, elle a pas une thune avec les dettes à régler et les loups bestiaux qui menacent mais elle a jamais su être égoïste, penser à elle et oublier celui qui lui a marqué l'âme. alors elle dépense, multiplie les attentions dans une volonté un peu triste de lui prouver sans jamais le dire, qu'elle pourrait être plus qu'une chatte, qu'une chienne, qu'une poupée qui dit oui. qu'elle pourrait être tout ce qu'il voudrait qu'elle soit et emplir tous les manques de sa vie, en plus de ceux de son lit. mais decay, il saisit jamais ses mains tendues et lula ça lui va. parce qu'il lui va.
elle est prête à partir quand elle aperçoit, trop tard, le message qui étire sur ses lèvres pulpeuses un joli sourire qui brille aussi fort qu'une étoile. lula, elle s’exécute. toujours. pour lui comme pour ces hommes derrière leurs écrans, sauf que pour decay, c'est toujours plus vrai. elle se fait joueuse, la môme. tentatrice. elle envoie d'abord son décolleté plongeant en quittant l'appartement. puis, à mi-chemin, s'isole dans une ruelle pour lui offrir sa poitrine voluptueuse ceinte dans son écrin de dentelle. et puis, enfin, quand elle est là, à deux pas, devant sa porte... lula joue. dans la semi-pénombre d'un couloir désert, elle retire sa lingerie pour lui offrir la photo qu'il attendait. et à peine s'est-elle revêtue, qu'elle pénètre à l'intérieur. sans s'annoncer. elle a le coeur qui renverse lula, prêt à exploser alors que ses pas félins brûlent en la conduisant jusqu'à lui. son sac tombe sur le sol alors que la môme entoure decay entre ses bras de roseau, presse son corps électrique contre le sien dans la plus merveilleuse des collisions et entreprend de dévorer sa nuque de baisers fébriles dans une langoureuse remontée jusqu'à ses lèvres. bonjour... glisse-t-elle de son timbre qui donne chaud en laissant ses lèvres brûlantes flirter contre les siennes sans jamais les emprisonner tout à fait. lula, elle lui laisse la main. toujours. decay, il a ce besoin de contrôle, il aime décider et lula, elle s'en fiche. elle l'aime, lui, le reste n'a pas d'importance.
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MessageSujet: Re: (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime   (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime EmptyDim 14 Mai - 16:24

L'attente. 1 seconde, 1 minute... C'est déjà trop. Qu'est-ce qu'elle fout, c'est si dur d'envoyer une photo ? Mes points se serrent, mes phalanges deviennent nacrées. Colère calme, froide. Envoyer un autre message ? Ce serait faible. Ce serait réclamer comme elle réclame. Ce serait être le chien de la chienne. Je suis pas ça, tout sauf ça. Je veux pas.

Pourtant je sais bien que si je pète un plomb c'est pas seulement parce que je veux la baiser. C'est pire que ça. C'est que je l'aime, plus que les autres. Mais moins que moi, encore heureux. Je veux pas être faible comme tout ceux qui lui déclare leur amour alors qu'elle n'est qu'une des nombreuses cyber-beautés.

Ecran allumé
Photo décolletée
Désir allumé

à partir de là ça part en couilles, à vos risques et périls:


Dernière édition par Decay le Dim 14 Mai - 17:10, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime   (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime EmptyDim 14 Mai - 16:54

entre ses bras, lula frôle déjà le septième ciel, la plénitude la plus totale. le visage dans le creux de sa nuque, elle respire à pleins poumons son odeur qui l'entête, sa voix qui la berce et flingue déjà son palpitant. il tambourine, partout. entre ses côtes, entre ses cuisses, entre ses lèvres. il résonne contre ses tempes ou au bout de ses phalanges qui parcourent déjà sa peau. accro. électrisée par le moindre atome qui compose decay et la rend fébrile. soumise. amoureuse, en fait. il relève son retard et de ses yeux qui brillent comme des étoiles, lula caresse ce visage qui l'enivre, féline. je saurai me faire pardonner. sa voix de gosse ronronne déjà ce qui est une promesse. c'que tu voudras. quand tu voudras. c'est cher payé pour un retard qui n'en est à peine un. lula, elle a juste voulu se faire désirable, mettre de l'or sur ses yeux, du satiné sur sa peau. elle se démène la môme pour que chaque ivresse soit inédite, savoureuse. pour que jamais il ne se lasse ou la remplace. elle le supporterait pas, lula, de voir une autre se glisser dans son ombre. peut-être même qu'elle en crèverait de chagrin comme elle pourrait mourir d'aise ici, terrassée par l'endorphine qui brûle ses veines à son contact.
decay l'embrasse et lula gémit, déjà fébrile. ses doigts délicats se referment dans sa nuque, glissent dans ses cheveux tandis que sa bouche le baise dans une étreinte qui n'a rien de sage. ils se séparent, souffle court et palpitant en fusion, liquide, prêt à couler entre ses reins et lula, avide, caresse distraitement cette peau qu'elle aime tant. jusqu'à l'explosion interne. celle qui brouille pour un instant sa vision de chatte et suspend ses gestes. decay l'aime et l'entendre percuter ses tympans a toujours le même effet. un shot d'héroïne en plein coeur. une montée d'ivresse sans égale. je sais. qu'elle offre sans détour, avec cérémonie. elle sait qu'elle a de la chance, même si tous s'entêtent à lui indiquer le contraire. que decay, c'est pas un homme pour elle, pas un mec bien, qu'il va réduire son coeur en cendres et s'amuser à souffler sur les braises. mais lula, elle s'en fiche. elle est têtue quand elle veut, elle n'écoute qu'elle et ses instincts. ses instincts déviants qui ne veulent que lui. decay et son visage contre son sein, decay et ses mains sur ses hanches, decay le génie capable de chasser les démons, de les remplacer par les siens qui font du bien en faisant mal. lula, elle se dérobe à son étreinte, elle glisse entre ses bras et le laisse s'asseoir pour coloniser ses genoux. pas comme une gentille gamine, non. à califourchon, avec sa robe qui glisse contre ses cuisses hâlées pour l'entourer à nouveau dans son étreinte tout sauf venimeuse. elle baise sa mâchoire bien dessinée, remonte jusqu'à son oreille pour y murmurer sa supplique décadente. montre-moi combien tu m'aimes... elle réclame. déjà. elle sait qu'elle ne devrait pas, lula, mais elle est prête à assumer les conséquences. elle a juste besoin de lui, encore plus qu'elle n'en a envie. parce que lula, elle ne vit qu'en pointillés quand il n'est pas là. elle ne vit que pour ça. son regard. son assentiment. sa peau brûlante pour esquinter la sienne.
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MessageSujet: Re: (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime   (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime EmptyDim 14 Mai - 20:34

La danse a commencé
La jupe est retroussée
Chienne un peu trop pressée
Faut le temps de souffler

- Pas maintenant Louise.

C'est court, simple, doux mais ferme. Dresseur canin que je suis. Je plonge mes yeux dans les siens, déjà suppliants, et caresse sa cuisse jusqu'à la dentelle. Mais pas plus. J'ai dit non, un bon maître tient sa parole.

- T'as qu'à pas avoir de si beaux seins. Je gicle beaucoup trop vite devant.

Sourire carnivore, crocs dans son cou. Pas fort non, juste assez pour qu'elle ait la chair de poule. Mes griffes remontent le long de son ventre, j'ai dit non certes, mais je ne veux pas attendre.

Seins en mains
Moment opportun
Massage sauvage
Fait des ravages

- Dis-moi encore comment tu m'aimes.

Toujours la même histoire, les même mots, mais je ne m'en lasse pas. Quoi de plus beau qu'un cœur pour soi ? La lumière qui aime le noir. Son cœur, lui, doit être comme ses seins sous mes mains à présent. Torturé, violenté et pourtant en redemander. J'exulte, moi le Dieu, elle la chienne. Moment de folie, montée du désir. Phrase étrange bien trop rapide.

- Regarde-moi et aboie.
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MessageSujet: Re: (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime   (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime EmptyMer 17 Mai - 0:05

pas maintenant.
ça sonne comme un soufflet sur la joue ou une claque derrière la nuque. le visage de lula se décompose sous la déception qu'elle essaye pourtant de masquer. parce que decay, elle ne veut pas le décevoir. jamais. elle ne lui montre pas quand il la blesse, quand il lui fait mal, quand il écorche un coeur qui n'est fait que pour lui. enfin...
c'est ce qu'elle croit la gamine car tout se lit sur son visage de poupée bien trop expressif. les sentiments s'y rédigent en lettres écarlates qu'elle ne peut pas voir. elle a mal, bien sûr, qu'il repousse son amour. parce que lula, elle ne veut pas baiser. elle désire faire l'amour. c'est différent à ses yeux, ce n'est pas qu'une danse des corps, c'est les âmes qui se caressent, les coeurs qui s'apprivoisent. même dans le sale. même dans le dégradant, elle voit toujours davantage, la réalité dissimulée derrière les filtres qu'elle lui appose.
decay dit non et lula hoche la tête, ses mains chastes contre ses épaules qui l'assassinent, point faible. elle aime caresser les clavicules, retracer la courbure virile et embrasser les creux délicats qui remontent jusqu'à la nuque. c'est ce qu'elle fait, délicatement, de la pulpe de son pouce. en silence, jusqu'à ce que la voix qui lui file des frissons ne renchérisse.
pourquoi tu m'as pas attendue ? ce n'est pas même pas un reproche, c'est une supplique larmoyante. de sa voix grave qui gémit sous les regrets en même temps qu'une main câline, aventureuse, ne caresse à travers le pantalon l'animal qui l'a trahie. qui s'est dressé sans elle et dort dorénavant du sommeil des justes.
qui l'est si peu.
c'est injuste, de partir sans elle après avoir réclamé sa présence et la moue déçue qu'affichent ses lèvres parle pour elle, qui n'oserait jamais employer ces mots face à lui. lula, elle a bien trop peur de le perdre. pour éviter ça, elle est prête à tout. à se plier à tout, à lui, à accepter de le savoir meurtri par les parfums d'une autre. d'autres. sans doute plus belles, plus affirmées, moins soumises.
peut-être même qu'il les préfère, ces autres qu'elle. et cette simple idée la brise.
parce que lula, elle ne respire que pour ça : ses lèvres dans son cou, les soupirs qu'il lui arrache. ses mains contre son sein, et la douce torture qui fait se tendre sa peau à son contact, déjà dressée entre ses doigts.
il ne répond pas, decay. lula, elle ne saura jamais combien il l'aime. il lui montrera sans doute plus tard, à coups de reins, à coups de mains. mais pas par des mots. jamais par des mots. decay, il a peur d'être faible comme elle, peut-être. lui, le roi. son roi.
ses doigts quittent la bête endormie pour glisser sous son sweat et caresser la peau. l'effleurer à peine. la griffer. l'empoigner. sa chaleur l'apaise et rend les battements de son coeur sonores. elle est bien, lula, assise sur son dieu et maître, l'entourant de ses jambes, de ses bras, de son âme qui ne hurle qu'en son nom.
je t'aime comme la terre aime le soleil. tu es ma dernière pensée le soir, la première le matin, tu es celui qui hante mes rêves et qui me manque à chaque minute de chaque jour que je passe loin de toi. c'est à toi que je pense quand je me caresse pour d'autres. c'est à toi que je pense quand je suis avec d'autres, c'est à toi que je pense que je suis seule. c'est toi qui me manque même quand tu es là, mais que je ne te touche pas. en fait... elle ajoute ça sur le ton de la confidence, lula, ses lèvres contre les siennes.
je crois que je t'aime plus encore que la terre n'aime le soleil. elle souligne son constat d'un sourire étoilé, tout en l'embrassant. elle mêle sa chaleur à la sienne, sa langue à la sienne, ses lèvres à sa bouche dans un de ces baisers combat qui laisse les souffles tronqués et les chairs à vif, en attente de plus.
bien plus.
lula, elle le regarde. de ses yeux d'amoureuse. de ses yeux d'aveugle. jusqu'aux mots de decay qui viennent percuter ses os. aboie ? elle se marre, lula. elle se marre naïvement, amoureusement comme toutes ces petites connes qui ne comprennent rien. elle le fixe dans l'attente, incongrue. mais il ne rectifie pas.
c'que tu peux être bête. renchérit-elle comme on répondrait aux bêtises d'un enfant mignon, trop pour être puni.
elle lève les yeux au ciel, ravale son sourire et pare sa mine d'une expression libertine. sensuelle. et lula, elle s’exécute.
elle aboie.
elle aboie dans un grognement rauque, sexy même si elle se sent ridicule, et reste sérieuse, contenant le fou rire qui menace de grignoter ses entrailles.
comme ça bébé ? elle demande, les lèvres dans sa nuque. qui viennent mordre la peau comme l'animal qu'il lui a demandé d'être. mais toujours en douceur. avec amour.
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MessageSujet: Re: (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime   (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime EmptyMer 17 Mai - 17:31

Elle aboie, la chienne
Elle est là, ma reine

Elle demande toujours si c'est bien, veut toujours que je sois content. Au font, son amour c'est le truc qui m'empêche d'être un mort vivant. Ses dents dans mon cou. C'est violent mais doux. Elle a la peau velours, et elle me rend fou.

Je ris doucement.

- Oui c'est bien ma belle, je suis fier de toi...

Mes doigts comptent ses vertèbres. 1... 2... 3... Flemme. J'attaque direct ses fesses. Soulève la robe, froisse le tissu. Goûte le fruit défendu, il est rond, doux, juteux. A pleines mains c'est toujours mieux. Mes doigts offrent des caresses plumes, sur son ptit cul. J'essaye d'être calme, mais le désir est enclume.

Comme le Christ il ressuscite. Qui ça ? Mon désir. Sous elle déjà un roc, des plus solides, comme le vice. Pas aussi solide pour les filles faciles, y'a qu'avec elle que je vacille. Alors j'embrasse tout, comme un aveugle fou d'amour. Cheveux, cou, visage dont j'épouse les contours.

Mon cœur bat fort, ça fait peur
C'est ça le bonheur ?

Faut bien une ombre au tableau. Ce serait trop fade, ce serait trop beau. Une idée sale, qui joue avec l'âme comme un pantin, intéressante comme l'appât du gain. Jouer son jeu : faire l'amoureux.

Voix douce
Voix grave
Voix caresse
Voix tonnerre
Voix lumière
Au creux de son oreille

- Tu veux que je te dises comment je t'aime ?


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MessageSujet: Re: (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime   (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime EmptyMer 17 Mai - 19:49

decay, il n'en fait qu'à sa tête.
il ne répond que quand ça lui chante, noyant lula dans les doutes qui oppressent sa poitrine. il ne lui dit pas pourquoi il s'est fait l'amour tout seul, sans elle, ou s'il aime ce qu'elle éprouve lorsqu'elle le caresse de ses yeux de chatte.
lula, elle ne sait jamais rien mais ça lui va.
ça lui va, quand il est là, quand il rit, quand il la regarde.
quand il la caresse.
alors elle ne dit rien. elle sourit au mot fier, ronronne presque sous ses doigts qui glissent le long de la pente sinueuse de son dos pour rejoindre leur place attitrée. la rondeur de ses fesses.
lula, elle se cambre un peu plus contre decay, pour lui offrir la courbure de ses reins. elle presse sa poitrine contre son torse et sous ses caresses, s'anime.
elle ondoie, lula, comme une princesse d'orient aux hanches chaloupées. elle ondule contre lui, reine sensuelle, les yeux mi-clos sur une musique enchanteresse qu'elle est la seule à entendre.
mais le boa qui palpite entre les cuisses de son amour y est sensible aussi, enivré par ses allures envoûtantes de charmeuse de serpents. elle le sait, elle qui le connait par coeur.
sous les mains de decay, sa peau frissonne et son sang bout dans ses veines, déjà intoxiqué. elle a les lèvres entrouvertes et le souffle court, lula,  prête à le recevoir où il lui plaira. comme il lui plaira.
il l'embrasse et elle vacille. resserre sa prise autour de lui, plante des ongles amoureux dans son dos pour y imprimer sa marque. la sienne, celle qui aimerait chasser les filles de rien qui s'invitent entre ses draps. elle qui aimerait lui tatouer le coeur se contente de laisser ses empreintes fugaces sur sa peau alors qu'elle soupire sous ses baisers.
elle les rend au centuple, la gamine, le coeur déjà battant entre les reins.
je t'aime tellement... elle confie ça du timbre de l'abandon, celui qui est déjà monté très haut, pendant que ses lèvres dessinent sur ses traits une carte aux trésors. elles glissent contre ses paupières fermées, embrassent l'arrête de son nez, mordent sa mâchoire virile pour à nouveau dévorer d'un appétit vorace les lèvres qui l'aimantent.
je voudrais rester comme ça pour toujours. y a son regard velours tentateur malgré lui, qui le contemple sans détour, la dévotion brillante au creux de ses prunelles. c'est vrai. c'est limpide de sincérité.
lula, elle n'est bien qu'au creux de ses bras. les brouillards et les ombres ne la suivent jamais, près de lui. les idées noires restent au placard et le deuil chagrin ne leste plus ses épaules fragiles.
l'air de rien, lula l'allume de son bassin qui l'appelle, qui le berce sous des ondulations tendres, presque innocentes si elles ne cherchaient pas tant à gravir la montagne dressée contre le tissu...
et puis, tout se fige.
le temps.
elle. ses gestes.
son souffle même, suspendu entre ses lèvres charnues, rosées, au sein desquelles il aime se glisser.
decay s'approche. sa bouche contre la peau fine, réactive, de son oreille fait bourdonner son coeur jusqu'à ses tempes. c'est fort. c'est sa drogue, sa came, sa dose d'adrénaline droit dans le palpitant.
il cède, il propose de cette voix ronronnante qui l'enflamme tout ce qu'elle rêve d'entendre. tout ce qu'il lui murmure faiblement au creux de la nuit, dans ses songes de gamine irréalistes.
sur ses lèvres, un sourire fleurit. un sourire d'ange, béat, qui étincelle comme un diamant.
oui... s'il te plaît. ce n'est pas un ordre, à peine une supplique. elle implore lula, de son regard qui donne chaud, de sa voix suave, brûlante, celle qui devient sienne lorsque le désir est trop fort, lorsqu'elle réclame plus alors qu'il bousille déjà son corps. plus fort. plus vite. prends-moi toute entière.
c'est la même voix qui meurt d'amour.
lentement, de ses gestes de liane, lula enroule sa main fine autour de son poignet pour tirer ses doigts jusqu'à son palpitant qui bondit et s'offre des cabrioles.
dans l'attente.
elle voudrait parler lula, mais pour dire quoi ? tu entends ? tu entends comme je t'aime ? non. elle n'ajoute rien, le coeur au bord des lèvres, prêt à s'effondrer entre ses doigts. seuls ses yeux supplient.
dis-le. dis-moi tout. vite. je t'en prie.
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MessageSujet: Re: (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime   (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime EmptyMer 17 Mai - 21:48

Elle danse ma chienne
Sur le désir qui se déchaîne
C'est délicieux comme ses lèvres
C'est beau comme ses yeux

La montagne du désir surplombe tout, dans ce moment sauvagement doux. Louise, elle fait des confidences, encore, toujours de sa voix brûlure, sa voix caresse. Elle répète inlassablement qu'elle m'aime, comme une religieuse répète ses prières. Alors je me prends pour un dieu, le plus grand de tous.

Ma main sur son sein, son cœur sous mes doigts... Je pourrais l'arracher, le dévorer. Mais non. Elle a se voix orgasme, ses yeux extases. Elle supplie, ça la rend magnifique.

- Je t'aime comme Jésus aime la croix, le drogué aime le crack, le mourant sa dose létale. Je t'aime à en mourir parce je sais pas vivre. T'es la seule raison à ce que je me sois pas ouvert les veines dans ma baignoire.

C'est sombre. C'est sale. C'est moi. C'est ça qui m'inquiète, c'est sorti bien trop vite, sans mensonge, sans hésitation. Je plante mes pupilles dans les siennes, pas montrer que la fierté saigne.

Pourquoi j'ai fait ça ? C'était un jeu, c'est devenu un piège.

- Déshabille-toi.

Voix chaude. Ordre froid. Je garde le pouvoir. Je crois.
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MessageSujet: Re: (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime   (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime EmptyJeu 18 Mai - 1:00

et puis ça vient.
ça vient et à l'intérieur ça monte comme une vague. non, plus fort encore. comme un raz-de-marée qui emporte tout sur son passage. avec l'intensité d'un presque orgasme. une jouissance des mots, du coeur et non du corps.
lula, elle dévore decay de ses opales carnivores, elle le fixe avec un amour grondant, un amour vrombissant, un amour qui aimerait le noyer sous une vague plus forte que les autres. aussi intense que celle qui monte dans son ventre et grimpe jusqu'à ses prunelles qui se teintent d'un voile salé.
lula, elle est émue. elle croit bien qu'elle pourrait en chialer, la gamine émotive drapée dans son âme par-dessus le corps, la gosse qui porte son palpitant contre sa manche. mais elle n'est pas narcissique. ce n'est pas l'amour que decay lui porte qui la terrasse, même si elle pourrait en crever de contentement.
non.
ce qui fait monter les marées de sel à ses pupilles, c'est son mal-être. c'est les tâches sombres autour de lui qu'elle n'avait jamais perçues, toute occupée qu'elle était à l'aimer. à les chasser. à les ignorer pour mieux le bercer de luxure.
mais decay, il a ses souffrances aussi et lula, elle l'apprend durement. au milieu d'une déclaration qui lui file le tournis et les vertiges de l'amour, tant elle est belle. les mots s'impriment jusqu'à ses tripes et puis finalement, la môme saisit le poignet qui flirte avec son sein voluptueux pour le porter à ses lèvres.
et lula, elle embrasse sa peau. elle embrasse l'épiderme à vif de son bras, celui qui pourrait déverser du pourpre sans sa bulle de douceur. elle suit la trace de ses veines fluorescentes et caresse le tracé sinueux de ses lèvres à la douceur pétale.
elle baise la peau à en perdre le souffle et relève ses prunelles anxieuses sur lui. lula, qui a déjà tant perdu, ne pourrait pas vivre sans lui, elle le sait. elle a déjà trop subi, la gosse. perdre ses parents, à tout juste vingt ans. perdre sa passion, sous le règne de l'argent. perdre son amour, qui devrait rimer avec toujours ? au-dessus de ses forces.
promets-moi que tu partiras jamais.
c'est une supplique, de sa voix de cantique. une supplique rocailleuse qui grimpe du fond de ses entrailles pour venir s'échouer contre sa peau chaude, dans son regard accroché au sien velouté.
lula, elle ne veut pas le perdre. ni demain, ni dans un mois, ni dans un an. ni jamais. decay, c'est son oxygène, le phare au fond des nuits.
alors quand il lui intime de se déshabiller, de cette voix grave d'outretombe qui la transcende, elle s'exécute comme une jolie poupée.
lula quitte ses genoux confortables pour se relever sans jamais le quitter des yeux. elle lui offre son regard pornographique. le lascif, celui qui, de dos, coule par-dessus son épaule pour le fixer en espérant l'incendier.
elle est de dos, la môme enchanteresse.
elle est de dos, lorsque la robe glisse le long de ses courbes et que seule sa crinière ébène se déroule contre sa cambrure débauchée.
la peau dorée est libérée, douce à la senteur sucrée.
elle tourne lentement sur elle-même, souple ballerine orpheline de patins. elle pivote sur la pointe des pieds, pour le fixer de son regard amoureux, impudique.
lula, elle sait faire. allumer derrière les écrans. se toucher jusqu'à faire surgir le sang blanc des autres.
mais avec decay, c'est différent. elle se sent jeune ingénue sous son regard.
comme si chaque fois était la première. comme si chacun de ses regards sous ses courbes aphrodisiaques était le seul. le premier, oui, mais le dernier à la fois.
alors c'est face à lui qu'elle joue avec sa lingerie. flirte avec la bretelle qui glisse le long de son bras sans jamais se retirer, jusqu'à ce que ses doigts câlins acceptent le sort de son soutien gorge.
il tombe au sol dans un bruit feutré, libérant la poitrine entravée déjà dressée.
belle, lourde, pointée vers lui dans un appel silencieux.
ne reste plus qu'un tissu encombrant dont la ficelle danse entre ses doigts taquins. lula, elle ne sait jamais rien lui refuser, à decay. mais parfois, enhardie par le désir, enivrée par ses gestes et ses regards, elle est capable de lui résister.
pour quelques minutes.
ça lui plaît, de le savoir suspendu à ses gestes. alors lula, elle étire les secondes. sa main s'amuse à glisser à l'intérieur de sa culotte, pour une brève caresse. elle feint la plénitude qui est loin de la traverser lorsque ce ne sont pas ses propres phalanges à l'oeuvre. elle gémit un peu, pour lui. pour l'éveiller. et finalement, la lingerie fine glisse le long de ses jambes fuselées.
elle est nue, lula.
nue et belle.
nue et libre.
nue et désirable.
nue et rien qu'à lui.
doucement, à l'aide d'une démarche féline, elle s'avance jusqu'à decay.
elle tombe à ses genoux, la gamine dénudée, à la fois pécheresse et agneau. elle tombe à ses genoux, la pulpe de ses doigts caressant amoureusement la naissance de ses cuisses.
et elle le regarde.
elle le fixe, d'un regard conquis. d'un regard d'en bas, où perle la soumission qui est toujours la sienne face à lui.
lula farouche est agneau entre ses mains.
elle ondoie entre ses cuisses, pour mieux défaire les boutons de son jean. malgré des gestes fébriles, elle prend son temps pour délivrer la bête. et elle l'honore en silence, dans des prières silencieuses à un dieu tentateur.
de quoi as-tu envie ? sa voix n'est qu'un mince filet. rauque. pétri d'un désir fébrile qui la dévaste.
lula, elle pense à decay.
toujours.
quoi qu'il veuille, quoiqu'il désire, elle le voudra aussi.
lula ne le réalise pas, mais elle est plus malléable que les filles de rien. plus ouverte qu'une actrice porno. plus soumise qu'une prostituée. lula, c'est quand elle est souillée qu'elle se sent la plus vénérée. c'est dans ces moments-là, qu'elle a l'impression qu'il aime plus fort que ses mots. decay.
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MessageSujet: Re: (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime   (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime EmptyJeu 18 Mai - 8:10

Yeux mouillés
Entrejambes aussi
La voir ainsi
Me fait vibrer

Elle me bouffe des yeux, et pour une fois, c'est moi qui me sens petit. Le pire c'est que ça me déplaît pas. Qu'est-ce que je fous, c'est moi le roi. Mais elle est belle Louise. Elle est amour. Elle est joie. Moi je suis quoi ? Son poison et son remède. Oui.

Louise c'est des choses simples. Ses lèvres sur mes veines, ses yeux de reines. C'est beau et c'est doux. C'est ce qui manque peut-être au porno. Les choses de rien, qui font tout.

- C'est promis.

Deux mots. Je pourrais pas en dire plus. Je l'aime ma pute. Puis elle se lève, le tissu tombe, sa peau est ombre, gémissement gronde, désir se bombe. Mes yeux ne savent plus où se fixer, tout est beau comme ces sculptures grecques. Ses seins, oui, c'est bien. Je les fixe un peu trop chaudement.

Lula à genoux
Lula pas loin des couilles
Lula mon amour
Envie de toujours

Je la vois mon esclave, y'a rien qui l'entrave, du plus beau au plus sale, mon envie sur piédestal.

- Suce-moi à t'en étouffer.

Craché comme un "c'est bon, continue", yeux luxures.

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MessageSujet: Re: (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime   (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime EmptyJeu 18 Mai - 14:06

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MessageSujet: Re: (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime   (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime EmptyJeu 18 Mai - 17:24

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MessageSujet: Re: (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime   (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime EmptyMar 23 Mai - 20:23

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MessageSujet: Re: (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime   (lula) dis-moi que tu m'aimes, moi aussi je m'aime Empty

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